24.7.07

« quand ils s’arrêtèrent essoufflés pour s’appuyer contre un mur, il lui glissa dans les mains un petit bouquet de violettes. elle n’eut pas besoin de les regarder pour savoir qu’il les avait volées, comme si elle avait assisté à la scène. Les fleurs contenaient l’été tout entier, avec ses ombres et ses lumières gravées dans les feuilles, et elle en pressa toute la fraicheur contre sa joue. »

in, la traversée de l'été, truman capote, grasset

1 comentário:

Anónimo disse...

hola! soy francesa y no sé como llegué n tu blog, pero llegué..jeje Lei ste libro..Y me ha encantado!Ke bonito pasaje..