17.1.07

... mais uma novidade do paul auster...

"L’homme qui, ce matin-là, se réveille, désorienté, dans une chambre inconnue est à l’évidence âgé. Il ne sait plus qui il est, il ignore pourquoi et comment il se retrouve assigné à résidence entre les quatre murs de cette pièce, percés d’une unique fenêtre n’ouvrant que sur un nouveau mur et d’une porte qui, pour lui demeurer invisible, doit bel et bien exister puisque des “visiteurs” vont la franchir… Sur un bureau, sont soigneusement disposés une série de photographies en noir et blanc, deux manuscrits et un stylo.Qui est-il ? Et que lui veulent ses interlocuteurs, dont cette Anna qui lui donne du “Mr Blank” et lui parle de comprimés, d’un traitement en cours, mais aussi, étrangement, d’amour et de promesses ? Une journée se passe, lors de laquelle les “visiteurs” qui se présentent reprochent au vieil homme de les avoir jadis envoyés accomplir de mystérieuses et périlleuses missions dont certains sont revenus irrémédiablement détruits. Et cependant qu’entre deux vertiges, corps et mémoire en déroute, Blank interroge des souvenirs qui refusent de se laisser exhumer, qu’il cherche dans le manuscrit l’hypothèse d’une explication, une caméra et un micro enregistrent le moindre geste, les moindres bruits de cette chambre où il subit son ultime et interminable épreuve… "
in Dans le scriptorium, Paul Auster, Actes Sud
traduit de l'américain par Christine Le Bœuf

14.1.07

... e com este livro fico a conhecer toda a obra de anna gavalda...
... um livro juvenil a não perder...

"j'ai détesté mme daret. j'ai détesté le son de sa voix, ses façons et sa sale manie d'avoir toujours des chouchous. mais j'ai appris à lire parece que voulais fabriquer l'hippopotame en boite d'oeufs de la page 124."

in 35 kilos d'espoir, anna gavalda, bayard jeunesse

4.1.07

"je profite de son absence pour interroger mon portabe.

aucun message.

bien sûr.

suis-je bête.

suis-je bête... "

"je me disais: allez, il faut pleurer une bonne fois pour toutes. tarir les larmes, presser l'éponge, essorer ce grand corps triste et puis tourner la page. penser à autre chose. mettre un pied devant l'autre et tout recommencer."

in je l'aimais, anna gavalda, le dilettante